DE 1990 À AUJOURD'HUI
EXPOSITIONS PERSONNELLES :
Galerie Art'Motion (2021/2022/2023 )
Carré des Coignard -Nogent sur Marne
Octobre Urbain - Orangerie de Sucy en Brie
Espace ZITI - Paris
Sensations - Espace FaberNovel - Paris
Centre Culturel d’Alfortville
Galerie La Règle d’Or- Paris
Galerie «La Petite » Rue de Seine- Paris (1997/1998)
Galerie EL Palau Terrateig Valencia Espagne
Galerie Artitude -Paris
Galerie «La Petite » Rue de Seine -Paris
Galerie Castelnou -Paris
Centre culturel -Calpe (Espagne)
EXPOSITIONS COLLECTIVES:
Assemblée Nationale -Paris
Expo Franco Espagnole Centre Culturel Saint Loubès (Gironde)
Beeker Street - Anvers (Belgique)
Assemblée Nationale -Paris (1997 /1998)
Beeker Street - Forum des Halles – Paris/Anvers
Galerie Via -Paris
Atelier Caceres
Centre Culturel Sucy en Brie
PARUTIONS
Artention N° 16 / Entretien sur RFI
Miguel Escrihuela
Tavernes de Valldigna 23 aout 1959
Dès son enfance Miguel Escrihuela se dédie au dessin et à la peinture .À l âge de 9 ans il approche la pratique de la peinture de façon empirique grâce à un couple de peintres que sa mère lui présente .À 28 ans il rencontre Juan Carlos Caceres ancien professeur des Beaux- Arts à Buenos Aires qui durants 3 ans structure ses acquis et le forme en tant que plasticien.
À 31 ans débutent ses première expositions à Paris, en Espagne et en Belgique.
Il ne se limite pas à un thème ni à une technique, ses référence sont multiples et s’exerce au coeur d’une vaste thématique du paysage: la nature, l’urbain, l’humain. Il à une nette préférence pour la couleur et la lumière sans négliger la matière.
Récemment les thèmes et les sujets abordés concernent l’environnement du quotidien.Son attention et sa créativité s’éveillent au contact du banal, du commun, qu’il s’approprie par la photographie, la télévision, les journaux, les imprimés, tout les types de support.
Il nous invite à partager émotions, sentiments, sensations, afin de rendre visible l’invisible et dans cette perspective se réapproprie la célèbre phrase de Paul Klee : « L’art ne reproduit pas le visible , il rend visible ».
Reste les questionnements du regard : abandon, solitude, exclusion, toute l’expérience humaine mise en mouvement.
Il suscite en nous le besoin de ressentir et de participer à la reconstruction d’une réalité.
Photo Enguerran Ouvray